Fonds général (Ms 508 à 1004)

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Cote/Cotes extrêmes

Ms 508 à 1004

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Bibliothèque municipale de Besançon

Présentation du contenu

Voir l'histoire de la conservation dans l'introduction et les appendices
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Cote/Cotes extrêmes

Ms 599 à 646

Ms 616 - Lettres, au nombre de 76, écrites au P. Laire par divers savants, de 1778 à 1800

Cote/Cotes extrêmes

Ms 616

Date

Dernier quart du XVIIIe siècle

Langue des unités documentaires

latin

Type de présentation matérielle et importance matérielle

156 feuillets

Dimensions et unité de dimensions

310 × 200 mm

Notes sur la zone de la description matérielle

Papier

Autographes pour la plupart

Notes sur le contenu

Le recueil débute par une lettre du prince Louis de Salm-Salm, écrite à Senones, le 12 juin 1778, un mois avant la mort de ce personnage, dont le P. Laire, à son retour d'Italie, allait devenir le bibliothécaire. Cette qualité se trouve déjà dans le titre de l'ouvrage que Laire avait publié sur les débuts de l'imprimerie à Rome au XVe siècle. La production de cet ouvrage l'avait fait connaître des plus célèbres bibliographes de l'Italie qui, durant son long séjour auprès de l'archevêque et cardinal Loménie de Brienne, échangèrent avec lui des lettres : notre recueil en renferme plusieurs d'Ireneo Affo, bibliothécaire de Parme, de Jacopo Morelli, bibliothécaire de Venise, d'Angelo Bandini, bibliothécaire de Florence. Laire correspondait aussi avec d'éminents bibliographes français, et le recueil qui nous occupe contient des lettres de Van Praet, de l'abbé Rive, de Camus, de Barbier. Quelques érudits de Franche-Comté sont également représentés dans cette correspondance. Les lettres de Nicolas-Eugène Droz, le dernier secrétaire perpétuel de l'Académie de Besançon, y sont au nombre de six : dans l'une (8 février 1788), il expose au P. Laire, pour qu'il les communique à Loménie de Brienne, devenu ministre des finances, ses idées sur la façon de procéder à l'extinctioa des dettes de l'État (fol. 48 vo) ; dans les dernières, il l'instruit de ses efforts personnels pour recueillir, au lendemain du naufrage révolutionnaire, les épaves qui pouvaient servir à reconstituer les associations intellectuelles de la Franche-Comté. Plusieurs érudits de la province de Bourgogne ont des lettres dans notre recueil : Maret, secrétaire perpétuel de l'Académie de Dijon ; l'abbé Boullemier et François Pasumot. C'est une lettre de ce dernier érudit, en date, à Paris, du 12 décembre 1800, qui termine le recueil.

Manuscrit numérisé -- Fonds général

Détail folios :

Fol. 155-156 Table des lettres contenues dans le recueil

Notes sur l'exemplaire en main

Demi-reliure basane verte