Fonds général (Ms 1005 à 1296)

Déplier tous les niveaux

Cote/Cotes extrêmes

Ms 1005 à 1296

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Bibliothèque municipale de Besançon

Présentation du contenu

Voir l'histoire de la conservation dans l'introduction et les appendices.
L'accès aux collections patrimoniales est soumis à une autorisation préalable. Toute publication de documents inédits doit être notifiée à l'établissement.

 

Cote/Cotes extrêmes

Ms 1005 à 1068

Ms 1066 - « Blocus de Besançon » et « Invasion de troupes étrangères dans l'ancienne Franche-Comté, en 1813 et 1814 », par le vicaire général Philippe Grappin (ci-devant Bénédictin)

Cote/Cotes extrêmes

Ms 1066

Date

XIXe siècle

Langue des unités documentaires

latin

Type de présentation matérielle et importance matérielle

102 feuillets

Dimensions et unité de dimensions

188 × 142 mm

Notes sur la zone de la description matérielle

Papier

Autographe

Notes sur le contenu

Manuscrit numérisé -- Fonds général

Détail folios :

Fol. 1 « Préface. M. Boivin nous a laissé l'histoire du siége de Dole, ouvrage devenu rare et qui est toujours intéressant pour les descendans des Francs-Comtois du XVIIe siècle... » En marge de la première page et de la troisième, les deux notes suivantes indiquent les moyens dont avait disposé l'auteur pour être exactement renseigné sur les événements du blocus de 1814 : « Depuis la rédaction de cet écrit, j'ai vu chez M. Marulaz [général gouverneur en 1814], à Filain, une histoire complette et très curieuse du blocus de Besançon. Elle est encore manuscrite. » — « Chaque jour je prenois note chez le général Marulaz de ce qui s'étoit passé la veille »

Fol. 77 « Invasion [ut supra], extrait de ma correspondance avec des curés et des maires. La fin de l'an 1813 fut une époque bien défavorable pour l'ancien comté de Bourgogne. Un essaim de troupes étrangères, plus funestes peut-être que les fameuses inondations de barbares ne l'avoient été à nos pères dans le cinquième siècle, vint punir toute la France des torts que leurs princes reprochaient à Napoléon... »

De la main de l'auteur, on lit, en tête de chacun des deux opuscules, un envoi ainsi formulé : « Pour la Bibliothèque publique de Besançon. »

Notes sur l'exemplaire en main

Demi-reliure veau