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Le recueil débute par une lettre du prince Louis de Salm-Salm, écrite à Senones, le 12 juin 1778, un mois avant la mort de ce personnage, dont le P. Laire, à son retour d'Italie, allait devenir le bibliothécaire. Cette qualité se trouve déjà dans le titre de l'ouvrage que Laire avait publié sur les débuts de l'imprimerie à Rome au XVe siècle. La production de cet ouvrage l'avait fait connaître des plus célèbres bibliographes de l'Italie qui, durant son long séjour auprès de l'archevêque et cardinal Loménie de Brienne, échangèrent avec lui des lettres : notre recueil en renferme plusieurs d'Ireneo Affo, bibliothécaire de Parme, de Jacopo Morelli, bibliothécaire de Venise, d'Angelo Bandini, bibliothécaire de Florence. Laire correspondait aussi avec d'éminents bibliographes français, et le recueil qui nous occupe contient des lettres de Van Praet, de l'abbé Rive, de Camus, de Barbier. Quelques érudits de Franche-Comté sont également représentés dans cette correspondance. Les lettres de Nicolas-Eugène Droz, le dernier secrétaire perpétuel de l'Académie de Besançon, y sont au nombre de six : dans l'une (8 février 1788), il expose au P. Laire, pour qu'il les communique à Loménie de Brienne, devenu ministre des finances, ses idées sur la façon de procéder à l'extinctioa des dettes de l'État (fol. 48 vo) ; dans les dernières, il l'instruit de ses efforts personnels pour recueillir, au lendemain du naufrage révolutionnaire, les épaves qui pouvaient servir à reconstituer les associations intellectuelles de la Franche-Comté. Plusieurs érudits de la province de Bourgogne ont des lettres dans notre recueil : Maret, secrétaire perpétuel de l'Académie de Dijon ; l'abbé Boullemier et François Pasumot. C'est une lettre de ce dernier érudit, en date, à Paris, du 12 décembre 1800, qui termine le recueil.
Langue des unités documentaires
Notes
Manuscrit numérisé -- Fonds général
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