Fonds général (Ms 508 à 1004)

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Cote/Cotes extrêmes

Ms 508 à 1004

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Bibliothèque municipale de Besançon

Présentation du contenu

Voir l'histoire de la conservation dans l'introduction et les appendices
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Cote/Cotes extrêmes

Ms 734 à 830

Ms 826 - Dissertations sur le Saint-Suaire de Besançon

Cote/Cotes extrêmes

Ms 826

Date

XVIIIe siècle

Langue des unités documentaires

latin

Type de présentation matérielle et importance matérielle

78 feuillets

Dimensions et unité de dimensions

281 × 192 mm pour la première dissertation et 220 × 167 pour la seconde

Notes sur la zone de l'édition et de l'histoire bibliographique de la ressource

Zaccone, Gian Maria. "Le manuscrit 826 de la Bibliothèque municipale de Besançon". Dans : Non fait de main d'homme = Acheiropoietos : actes du IIIe symposium scientifique international du CIELT, Nice 1997. - Paris : CIELT, 1998 ", p. 211-217. Andrea Nicolotti, le saint suaire de Besançon et le chevalier Othon de la Roche, édition Franche-Bourgogne, 2015.

Notes sur la zone de la description matérielle

Papier

Écriture des auteurs de ces opuscules

Notes sur le contenu

Manuscrit numérisé -- Fonds général

Détail folios :

Fol. 2 « Dissertation sur le Saint-Suaire de Besançon. Préface. Il n'est point de relique plus précieuse sur la terre, à la divine Eucharistie près, comme le Saint-Suaire de Besançon... »

Fol. 53 « Dissertation qui prouve que le Saint-Suaire de Besançon n'est pas authentique. C'est une question assez curieuse, mais presqu'inutile et qu'il n'est pas facile de résoudre, sans passer pour téméraire, de sçavoir si le Saint-Suaire qu'on conserve si religieusement dans l'église métropolitaine de Besançon n'est pas le véritable Suaire... »

Ces deux dissertations ont pour objet, la première d'affirmer, la seconde de nier l'authenticité de la relique du Saint-Suaire qui, depuis le début du XVIe siècle jusqu'à la Révolution française, attirait deux fois par an une foule de pèlerins à Besançon. (Voy. plus haut ms. no 129.)

La première des dissertations ici réunies réfute le passage ironique dans lequel Baillet s'était moqué de la crédulité de Jean-Jacques Chifflet au sujet du Saint-Suaire de Besançon. Cette dissertation est donc très peu postérieure à la publication, faite en 1701, de l'Histoire des fêtes mobiles, de Baillet.

En tête de la seconde dissertation, se trouve la note suivante : « Je tiens de M. l'abbé Trouillet que cette dissertation est le résultat de conférences entre lui, le premier professeur Bullet et M. l'abbé Fleury, chanoine de Sainte-Magdeleine. (Signé :) Grappin. » Cet opuscule appartient donc à la période moyenne du XVIIIe siècle.

Notes sur l'exemplaire en main

Demi-reliure basane rouge

Documents en relation

Ms Z 432 est une copie propre de ce manuscrit

Table des matières

  • « Dissertation sur le Saint-Suaire de Besançon. Préface. Il n'est point de relique plus précieuse sur la terre, à la divine Eucharistie près, comme le Saint-Suaire de Besançon... » - 2 2
  • « Dissertation qui prouve que le Saint-Suaire de Besançon n'est pas authentique. C'est une question assez curieuse, mais presqu'inutile et qu'il n'est pas facile de résoudre, sans passer pour téméraire, de sçavoir si le Saint-Suaire qu'on conserve si religieusement dans l'église métropolitaine de Besançon n'est pas le véritable Suaire... » - 53 94