Je suis ici
CP-B-P46-0245 - « Nos fenêtres. L'eau est montée beaucoup plus haut. Il y en avait 50 centimètres sur le quai et nous étions bloqués. » Posté le 22 janvier 1910, juste après le pic de l’inondation les 20 et 21 janvier.
CP-B-P7-0175 - « ma chambre » Au verso : « Cher oncle, je me trouve avec Missac à Besançon, je retourne demain. J'ai tardé de venir à Constantinople à cause de mon passeport, et comme cela je suis obligé de rester 20 jours en plus. Nous sommes les hôtes de la marraine de Missac. S. Dervichian. » Adressé à « Monsieur Nichan Dervichian, Mahmoud Pacha Jeni Teharchi n°28, Constantinople. » 1919
CP-B-P61-0073 - « Voici l'appartement » (en face des Bains)
CP-B-P41-0034 - « Je t'envoie cette carte comme souvenir de ma classe. Garde-la soigneusement. Tu dois aller à la pêche avec Mimile et surtout attraper beaucoup de soifs. Je t'embrasse bien fort ainsi que maman et papa. Je pense que vous allez tous bien. Mille baisers affectueux, Marthe. »
CP-B-P61-0150 - « Grande allée d'entrée ; entrée du dortoir des filles vu sur le côté; cuisine, mon domaine ; mon jardin » Au verso : « Souvenir affectueux de Denise à la Famille »
CP-B-P61-0148 - Au verso : « Ma chère Louise, les meilleurs baisers que t’envoie grand-père et Fredy »
CP-B-P61-0106 - « Connais-tu ce coin ? »
CP-B-P57-0020 - « Voici où je travaille 4 mois en été (1er juin au 1er octobre). Bons souvenirs. P. Mathey » Il n'y a pas encore d'immeuble en face de la nouvelle poste.
CP-B-P130 - « Mon balcon, n°18 rue du Capitole » : adresse de l'éditeur de cartes postales Derathé. Son tampon reprend l'usage ancien d'indiquer deux fois le n° de la rue : « 18, rue du Capitole. 18 » . Aujourd'hui, place Jean Cornet.
CP-B-P103-0070 - Les passerelles datent de la fin du XIXe siècle, ainsi que le canal fluvial.
CP-B-P103-0097 v° - « Mon vieux Cépi, D'abord merci pour la carte de maman, tout le monde me charge de te souhaité bonne santé pendant les 28 jours et de ne pas trop mouiller de chemises..."
CP-B-P103-0096 - " ... Un bécot sur le nez de tous. Alexandre. Je t'envoie la vue des soieries où tu dois avoir laissé quelques béguins. » 1908