Registres paroissiaux (1543-1793)
Jusqu'à la Révolution française, l'enregistrement des baptêmes, mariages et sépultures est géré par les autorités ecclésiastiques. A Besançon, il est réalisé par l'Eglise catholique.
La ville est alors composée de sept paroisses intramuros (Saint-Jean-Baptiste, Sainte-Madeleine, Saint-Maurice, Saint-Pierre, Notre-Dame de Jussa-Moutier, Saint-Paul-Saint-Donat et Saint-Marcellin), 4 paroisses extérieures (Bregille, Saint-Ferjeux, Velotte et Beure, La Vèze), 4 hôpitaux (hôpital Saint-Jacques, hôpital des enfants trouvés, hôpital Saint-Jean l’Aumônier, hôpital Bellevaux) et 2 forts (Citadelle et Fort Griffon). Une huitième paroisse existait, nommée saint-André, à l’emplacement actuel de la Citadelle (l’église du même nom est détruite en 1668) : il semble que celle-ci n’ait pas tenu de registre, ses droits paroissiaux étant cédés à saint-Jean-Baptiste.
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