Pierre-Henri FEUR (1837-1926)

1

3 lots 3 medias

Oculus

Date

1879

Cote

DPH-1001-127_3

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de...
Oculus

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

2

3 lots 3 medias

Écoinçon droit

Date

1879

Cote

DPH-1001-130_5

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Saint Isidore Gagelin missionaire en Cochinchine (?)....
Écoinçon droit

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

3

3 lots 3 medias

Oculus

Date

1879

Cote

DPH-1001-129_3

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Le martyre de sainte Demetria (?). Le martyre de sainte...
Oculus

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

4

3 lots 3 medias

Oculus

Date

1879

Cote

DPH-1001-133_3

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Saint François de Sales donnant la communion. La canonisation...
Oculus

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

5

3 lots 3 medias

Écoinçon gauche

Date

1879

Cote

DPH-1001-132_4

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
La Madeleine aux pieds du Christ chez Simon le Pharisien....
Écoinçon gauche

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

6

3 lots 3 medias

Le martyre des saints Ferréol et Ferjeux

Date

1879

Cote

DPH-1001-126_2

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
La «surprise» huguenote de Besançon en 1575. Le martyre...
Le martyre des saints Ferréol et Ferjeux

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

7

3 lots 3 medias

Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de Milan

Date

1879

Cote

DPH-1001-127_1

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de...
Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de...

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

8

3 lots 3 medias

Écoinçon droit

Date

1879

Cote

DPH-1001-127_5

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de...
Écoinçon droit

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

9

3 lots 3 medias

Écoinçon gauche

Date

1879

Cote

DPH-1001-129_4

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Le martyre de sainte Demetria (?). Le martyre de sainte...
Écoinçon gauche

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

10

3 lots 3 medias

Écoinçon gauche

Date

1879

Cote

DPH-1001-127_4

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de...
Écoinçon gauche

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

11

3 lots 3 medias

Écoinçon droit

Date

1879

Cote

DPH-1001-129_5

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Le martyre de sainte Demetria (?). Le martyre de sainte...
Écoinçon droit

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

12

3 lots 3 medias

Oculus

Cote

DPH-1001-131_3

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Jésus parmi les docteurs. Le Christ bénissant les enfants
Oculus

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

13

3 lots 3 medias

Écoinçon droit

Date

1879

Cote

DPH-1001-128_5

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Sainte Germaine de Pibrac et le miracle des roses....
Écoinçon droit

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

14

3 lots 3 medias

Écoinçon droit

Date

1879

Cote

DPH-1001-132_5

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
La Madeleine aux pieds du Christ chez Simon le Pharisien....
Écoinçon droit

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

15

3 lots 3 medias

La Madeleine aux pieds du Christ chez Simon le Pharisien

Date

1879

Cote

DPH-1001-132_1

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
La Madeleine aux pieds du Christ chez Simon le Pharisien....
La Madeleine aux pieds du Christ chez Simon le Pharisien

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

16

3 lots 3 medias

Écoinçon gauche

Date

1879

Cote

DPH-1001-126_4

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
La «surprise» huguenote de Besançon en 1575. Le martyre...
Écoinçon gauche

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

17

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Oculus

Date

1879

Cote

DPH-1001-128_3

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Sainte Germaine de Pibrac et le miracle des roses....
Oculus

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

18

3 lots 3 medias

Sainte Germaine de Pibrac et le miracle du ruisseau asséché

Date

1879

Cote

DPH-1001-128_2

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Sainte Germaine de Pibrac et le miracle des roses....
Sainte Germaine de Pibrac et le miracle du ruisseau...

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

19

3 lots 3 medias

Oculus

Date

1879

Cote

DPH-1001-132_3

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
La Madeleine aux pieds du Christ chez Simon le Pharisien....
Oculus

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

20

3 lots 3 medias

Saint Charles Borromée en prière

Date

1879

Cote

DPH-1001-127_2

Contexte : Eglise Notre-Dame
Vitraux
Vitraux des basses nefs
Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de...
Saint Charles Borromée en prière

Producteur :

Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon

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Le martyre des saints Ferréol et Ferjeux

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Producteur :

Saint Charles Borromée communiant les pestiférés de Milan

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Écoinçon gauche

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Contexte : Eglise Notre-Dame

Producteur :

La Madeleine aux pieds du Christ chez Simon le Pharisien

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Contexte : Eglise Notre-Dame

Producteur :

Écoinçon gauche

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Contexte : Eglise Notre-Dame

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