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  1. Résultat n°1
    Matthieu

    2 lots 2 medias

    Matthieu

    Date

    1897

    Cote

    DPH-1002-79-6

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Sacristies
    • La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux, Le Christ,...
    • Matthieu

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  2. Résultat n°2
    Christ mort

    2 lots 2 medias

    Christ mort

    Date

    1904-1909

    Cote

    DPH-1002-116

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Crypte
    • Christ mort

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  3. Résultat n°3
    La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux

    2 lots 2 medias

    La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux

    Date

    1897

    Cote

    DPH-1002-79-1

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Sacristies
    • La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux, Le Christ,...
    • La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  4. Résultat n°4
    Le Christ

    2 lots 2 medias

    Le Christ

    Date

    1897

    Cote

    DPH-1002-79-2

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Sacristies
    • La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux, Le Christ,...
    • Le Christ

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  5. Résultat n°5
    Christ en croix

    2 lots 2 medias

    Christ en croix

    Date

    1898

    Cote

    DPH-1002-39

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Nef
    • Christ en croix

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  6. Résultat n°6
    Luc

    2 lots 2 medias

    Luc

    Date

    1897

    Cote

    DPH-1002-79-3

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Sacristies
    • La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux, Le Christ,...
    • Luc

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  7. Résultat n°7
    Vierge

    2 lots 2 medias

    Vierge

    Date

    1899

    Cote

    DPH-1002-29

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Transept
    • Vierge

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  8. Résultat n°8
    Saint Sébastien

    2 lots 2 medias

    Saint Sébastien

    Date

    1859

    Cote

    DPH-1002-98

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Crypte
    • Saint Sébastien

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  9. Résultat n°9
    Un vieil étudiant ou Saint Jérôme lisant

    2 lots 2 medias

    Un vieil étudiant ou Saint Jérôme lisant

    Date

    1899

    Cote

    DPH-1002-36

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Transept
    • Un vieil étudiant ou Saint Jérôme lisant

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  10. Résultat n°10
    Jean

    2 lots 2 medias

    Jean

    Date

    1897

    Cote

    DPH-1002-79-5

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Sacristies
    • La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux, Le Christ,...
    • Jean

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  11. Résultat n°11
    La Trinité

    2 lots 2 medias

    La Trinité

    Date

    1880-1910

    Cote

    DPH-1002-62

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Sacristies
    • La Trinité

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.

  12. Résultat n°12
    Marc

    2 lots 2 medias

    Marc

    Date

    1897

    Cote

    DPH-1002-79-4

    • Contexte : Basilique des Saints Ferreol et Ferjeux

    • Sacristies
    • La Vierge entourée par Ferréol et Ferjeux, Le Christ,...
    • Marc

    Producteur :

    Saint-Ferjeux, la vraie cathédrale du beau quartier qui en porte le nom, à l'origine presque des débuts du christianisme à Besançon et qui eut l'insigne privilège d'abriter la sépulture des corps martyrisés des Saints Ferréol et Ferjeux ainsi que ceux des évêques des premiers temps. Saint-Ferjeux, rebâtit plusieurs fois et qui voit s'élever sur le lieu saint d'une crypte vénérée ce triomphe de l'architecture romano-byzantine dont les décors comme les modèles sont aujourd'hui le catalogue des références ornementales de ce courant qui prospérait à la fin du XIXème siècle, et auxquels, ici, une quantité d'artistes comtois talentueux vont apporter, leur passionnant concours&
    Ce sont là autant de raisons qui ont incité la Direction du Patrimoine Historique, hier Mission du Patrimoine, à poursuivre avec ce nouvel opus l'inventaire des biens mobiliers des églises appartenant à la Ville, et que j'avais initié en ouvrant avec celui de la collégiale de la Madeleine en 2006. Quatre autres depuis vont suivre successivement consacrés à Notre-Dame (2012), à Saint- Maurice (2015) à Saint-Pierre (2018) et, cette fois à la basilique de Saint-Ferjeux.
    On ne dira jamais tout l'intérêt que représentent ces inventaires parfaitement documentés qui nous auront non seulement permis de fixer un état précis de ce qui appartenait à la Ville et de ce qui composait le décor intérieur de ces lieux de cultes, mais qui auront littéralement sauvé de l'oubli des oeuvres majeures, pour certaines déposées au trésor de la cathédrale ou au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. À ce titre, la redécouverte de l'Adoration des mages de Claude
    Vignon, couronnée par le Grand Prix Pèlerin et Patrimoine en 2015, est un évènement majeur.
    C'est aussi, là, pour moi, l'occasion de remercier tous ceux qui nous auront apporté leur aide et leur soutien. Ils sont nombreux et leurs noms et qualités figurent dans chacun de ces inventaires. Mais je voudrais ici, plus particulièrement dire mon amitié à ceux qui formaient à l'origine notre petite troupe enthousiaste bravant les grands froids et la poussière, Frédérique Thomas Maurin, alors conservateur au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie, Gabriel Vieille, Marie-Hélène Atallah et Guy Barbier. Nous nous sommes enthousiasmés et nous avons bien travaillé.
    Chacune de ces églises porte en elle les traces de son histoire et les caractéristiques marquées des temps qui les a vu naître dans l'accumulation des souvenirs et dans l'indiscutable présence des personnalités qui y avaient animé la vie paroissiale. Saint-Ferjeux n'échappe pas à cette règle et nous apprend, à son tour, beaucoup de tout cela.
    Il reste encore quelques sanctuaires qui mériteraient qu'on leur consacrât une suite à ces récits d'inventaires. À la veille de quitter mes fonctions, c'est le souhait le plus cher que je puisse formuler ici.
    Lionel Estavoyer, Conservateur du Patrimoine.