LAPRET Denis Philibert - Baptêmes
Date
21 mars 1761
-
Contexte : Table des actes - Lettre L
- LAPRET Denis Philibert
- 1761
- LAPRET Denis Philibert - Baptêmes
21 mars 1761
19/04/1796
1801-1820
DPH-1001-9_1
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1801-1820
DPH-1001-9_2
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
EST.FC.2088, EST.FC.2089
EST.FC.2090
[1750-1799]
Carton C n° 62
[1761-1821]
Carton C n° 30
1787
YC.BES.B5.2
1850
DPH-1001-22
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1850
DPH-1001-33
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1750
DPH-1001-36-2
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1801-1850
DPH-1001-27
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1801-1850
DPH-1001-36-1
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1800-1810
DPH-1001-4
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1780/1820
YC.Z.67
1750-1810
DPH-1001-5
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1820-1830
DPH-1001-2-7
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1874
DPH-1001-10_2
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1720-1730
DPH-1001-3-1
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1720-1730
DPH-1001-3-2
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1820-1830
DPH-1001-2-1
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1872
DPH-1001-1_1
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1820-1830
DPH-1002-2-6
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1820-1830
DPH-1001-2-2
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1820-1830
DPH-1001-2-3
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1820-1830
DPH-1001-2-4
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1750-1810
DPH-1001-7
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1874
DPH-1001-10_1
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1820-1830
DPH-1001-2-5
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1750-1810
DPH-1001-6
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
1750-1810
DPH-1001-8
Engagée en 2006, la campagne d'inventaire des biens immobiliers des églises, propriétés de la Ville de Besançon, se poursuit et nous révèle peu à peu l'importance d'un pan entier de notre patrimoine qu'on pouvait ignorer jusqu'alors et qui ne cesse de nous réserver, çà et là, d'heureuses surprises.
L'église Notre-Dame, récemment désaffectée, en est un bon exemple qui nous propose, au travers de cet inventaire, quelques caractéristiques qui n'appartiennent qu'à elle. Il en est ainsi de certains lieux, plus marqués que d'autres par une période ou un courant artistique. La Madeleine s'illustre par sa collection de tableaux, on le sait. Saint-Maurice, on le verra plus tard, est comme une église de campagne en ville. À Notre-Dame, il faut y chercher les meilleurs témoignages de l'art du XIXe siècle finissant, en matière de vitraux et de peinture religieuse, avec, notamment, l'immense frise de Joseph Aubert (1849-1924).
Le travail conduit ici avec savoir et sérieux a également permis la redécouverte d'un important tableau du célèbre peintre du XVIIe siècle, Claude Vignon (1593-1670), dont un premier nettoyage a été entrepris à l'initiative de la Mission Patrimoine, et dont on peut espérer qu'il rejoindra bientôt les cimaises du musées des Beaux-Arts. C'est là aussi l'un des intérêts de ces campagnes d'inventaires.
45 000 églises paroissiales sont, en France, propriété des communes. Et avec elles, toujours à la charge de ces collectivités, leur entier mobilier, les oeuvres d'art antérieurs à 1905 qu'elles contiennent et qui représentent des millions d'objets, classés pour les plus importants, connus pour beaucoup, mais aussi ignorés de tous, oubliés, dans une proportion non négligeable. C'est dire, là encore, combien il importe de conduire et d'encourager de pareilles opérations.
La Ville de Besançon, chacun s'accordera à le dire, n'a jamais ménagé ses efforts, financiers tout particulièrement, pour subvenir à l'entretien et à la restauration de ces édifices au caractère patrimonial et historique forts. Dans un constant souci de concertation avec les desservants, et avec les services de l'État, pour la Culture, ce dont je me félicite. Et avec l'aide non négligeable des collectivités amies, du Département et de la Région, que je remercie.
Ouvrir ce deuxième inventaire est donc un plaisir pour le Maire de Besançon, qui se réjouit de voir ainsi le patrimoine de notre ville expertisé, documenté, photographié, identifié. Et qui en félicite chaleureusement les auteurs et leurs collaborateurs. Et attend avec intérêt et curiosité le troisième, consacré à Saint-Maurice, dont il sait la réalisation presque achevée.
Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon, Président de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon
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